Où es tu, l’homme qui hante mes nuits ?

Tu passes en nocturne et tu t’enfuis.

Rêve sans réalité, seulement le bonheur d’aimer,

Halo de lumière restant après le réveil désespéré.

Courir après des chimères,

Faire moins de rêves amers,

Pouvoir croquer le fruit défendu,

Dans un immense paradis perdu.

Mon monde désiré c’est celui où tu vis,

Celui où je suis, la petite maison dans la prairie.

Mais tu n’es pas là, ta présence évanescente s’enfuit.

Quelle déraison hante ma tête, je n’ai pas d’alibi.

Mon imaginaire tourne vers les galaxies,

L’astre céleste me ramène à mon envie.

Dormir au moins une fois dans le creux d’un lit,

Blottie dans le creux de tes bras jusqu’au bout de la nuit.

Morganne

14/09/2011

Le ciel constellé d'étoiles m'appelait,

Envie de m'envoler pour découvrir la vérité.

Une pensée, mon âme se torturait,

Phénomène étrange mon coeur l'avait désiré.

Savoir, te revoir, te dire au revoir,

Ta voix était mélodieuse, je n'avais pas peur,

le son cristallin s'amplifiait, y aller un devoir,

Laissant mon lit douillet je sortais de ma torpeur.

Une forme blanche me retint par la main,

Je ne souffre plus, ne soit pas triste, l'air est léger.

Ma main dans la sienne, je reconnu mon ami, sans incertain.

Ce voyage je devais le faire, c'était mon destin, je ne suis plus en danger.

Je l'accompagnais pendant un temps irréel,

Le visage que je devinais était lumineux, satisfait.

Nous nous retrouverons un jour dans le céleste,

Et là nous continuerons notre prose je te le promet.

Je veillerai sur mes proches mais sur vous aussi,

Je guiderai votre plume, et étofferai vos écrits.

Le syndrome de la page blanche n'existera plus,

Perché sur un nuage l'inspiration vous en recevrez votre dû.

Un rêve, une prémonition, une réalité,

Quoi qu'il en soit sur ma joue de légères perles de rosée,

Vite essuyées,

Sois heureux, où que tu sois mon ami aimé.

Morganne

Sur la partition de ma vie,

J'ai le sentiment d'avoir oublié mes ennuis,

Pour ne garder que le meilleur,

Celui qui fait battre mon coeur.

Que demander au ciel pour qu'elle soit plus belle ?

Un bonheur éternel ?

Je pense qu'il faut un peu souffrir pour la mériter telle quelle.

Où aimer encore plus fort pour aller au pays des merveilles.

La lutte pour l'amour et l'amitié,

Bien sûr tout le monde en a rêvé.

Être Belle, forte, heureuse et sans chagrin,

Sans maladie, malaise, telle serait la vie "festin"

Autour d'une table, placer,

Un peu de rouge bonheur dans un saladier.

Une touche de bleu du ciel pour aimer.

Un brin de bleu cyan pour l'amitié.

Est-ce cela la belle vie ?

Est ce que vraiment on se la choisit ?

Où dans le ciel tout est écrit,

Sans avoir jamais rien fait ou dit.

Morganne

• challenge de morganne

  Par psyche-d-ames dans N°42 : Voyez comme la vie est belle 

   

   

  Allongé sur un tapis de Mousse,

  Le silence, ta main dans la mienne, la nuit est douce.

  Rêvant sous le ciel étoilé,

  Pourquoi, avant je n'avais jamais apprécié.

   

  Tu es là près de moi,

  Tu partages mes peines, ma joie.

  Que la vie peut être belle,

  Pourquoi faut-il que je le ressente aujourd'hui quand je me fait la belle.

   

  Reste mon amour, donne-moi de l'oxygène,

  Met tes lèvres sur mon cou, moi l'indigène..

  Le fauteur de trouble, le "bad boy" méchant garçon.

  La vie est belle mais elle m'a rattrapée pour me donner cette leçon.

   

  Je ne te demanderai pas de m'accompagner dans ce voyage.

  Mon Amour, n'en prend pas ombrage,

  Pour ce voyage, je n'ai qu'un seul billet.

  Des étoiles, je t'enverrai la force de faire avec un autre un lit douillet.

   

  C'est beau aujourd'hui, d'être en vie,

  Pourquoi je dois m'en aller, sans "plus belle la vie".

  Par, ne te retourne pas, j'aurai du laisser ma trace,

  Un bébé pour toi et moi, on le fait dit, ce sera moi en lui à ma place.

   

  Tu lui diras que son père, n'a pas vu à temps,

  La vie merveilleuse, qui s'étendait devant.

  Pourquoi n'avoir pas profité de l'instant présent.

  Je pars plein de remords, élève dans le bien notre enfant.

   

  Morganne

   

  Morganne

Sur la route fleurie l'enfant sautille sur le chemin,

Elle va vers sa destinée heureuse, son panier à la main.

Petite fait attention de ne pas rencontrer le loup,

Ces bêtes de contes peuvent être gentils c'est des histoires à dormir debout.

Evite d'aller trop vite de passer l'enfance  en un clin d'oeil,

Fais de ta vie un monde  joyeux sans écueil.

Car le monde d'aujourd'hui perdra à l'adolescence, ces couleurs.

Des tons gais et tentants, tu passeras au gris au noir et à la peur.

Regarde chérie, les poèmes qu'écrivent les plus grands.

Ils s'y complaisent, retournent dans leur tête les souvenirs brûlant.

Anorexie, Boulimie, elles en perdent la tête.

Alors continue ma mie d'aller en dansant à la conquête.

Mais une exception n'est pas un problème,

Regarde autour de toi, tu trouveras des "je t'aime"

Construit ton bonheur, met du plomb dans ta tête.

Et n'écoutes surtout pas ces abrutis de prophètes.

Adulte tu comprendras ce que je voulais dire,

Ne pas se mettre dans le moule, et ne pas le prendre pour un délire.

Reste toi, regarde moi, je vais toujours avec plaisir,

Dans la sente fleurie, caracoler vers l'avenir.

Morganne