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    Symphonie tragique marine

    L'astre d'or plonge dans l'océan
    Mon regard est aspiré par ce trésor.
    Pépite de lumière dans le néant
    Tangue un bateau, tribord ou bâbord.

    Le vent vieil auteur de ce tableau
    Avec la grâce du pinceau peaufine l'oeuvre.
    Les chimères alors renaissent de l'eau,
    Se préparent aux grandes manoeuvres.

    Eole s'assoupit avec le soir,
    L'océan devient glacis miroir.
    La fête sous marine peut commencer,
    Les chimères mécontentes s'acharnent sur le rafiot brinqueballé.

    Les pauvres âmes dans cet autre monde,
    Sont victimes ici des mystères immondes
    Qui dans les sombres villages côtiers,
    Font resurgir les peurs oubliées.

    Reviennent à leur mémoire un chalutier,
    Qui a perdu corps et âmes, et endeuillé,
    Orphelins et veuves aiment ce rivage, mais la mort a frappé.
    Le monde chimérique vers les abysses les ont coulés.

    Seulement loin de tout
    Le temps fuit il vraiment ?
    Et dans les eaux du dessous,
    L'astre d'or la vie ne régit.


    Poème 4 mains Morganne/Gaëtan.

     

     


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  • Un nouveau monde a été innové,

    Plus de pagaille, plus de procès,

    La vie se vit à deux dans les travées,

    Délivrance qui fleurie en rêves dorés.

     

    Ici la locomotive file sur les rails,

    A la façon des scopitones oubliés

    Elle met en lumière ses trouvailles

    Où les corps en quatre sont pliés.

     

    Plus de chômage, jeunes et vieux en accord parfait,

    Jukebox qui entonne des refrains gais.

    Tristesse oubliée, halo d'espérance dans les foyers

    Découvertes divines, maladies orphelines enrayées.

     

    Rêvons, notre univers n’est pas du même rose,

    La couleur grise s’étend dans les allées.

    Des roulottes aîdons, ne soyons pas sots, les rom sont grandioses,

    La Loi des Français depuis le grand Charles n’est plus écoutée…

     

    Gaëtan et Morganne 

     

     

     

    Acrostiche que m’a fait Gaëtan   (MORGANNE)

     

    M agnifique âme qui vole dans mon ciel,

    O ù que je sois je te sais avec moi,

    R ions, comme la vie est belle

    G ardons en nous cette poésie,

    A vec qui nous jouons chaque jour,

    N ul vers ne doit être négligé,

    N ulle strophe n'est à oublier,

    E nsemble la poésie naît

     

     

    Gaëtan


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