• Comment rivaliserai-je mon Amie ?

    Pour faire plus beau poème que tu m'as révélé ici.

    L'espoir est en moi, pour écrire de beaux vers,

    Le désespoir, savoir que je ne proserai ni comme Molière et Prévert.

    L'espoir fait marcher les peuples de l'univers

    Avoir la foi du lendemain, sourire ce n'est pas un mystère.

    Je t'aime au plus profond de moi depuis le coup de foudre ardent,

    Croire depuis le premier jour te choisir pour être le père de mes enfants.

    L'espérance idéale à mes yeux attendre avec amour un "baby",

    Chair de ma chair et de la tienne, peut être conçu un soir d'insomnie.

    Le marchand de sable savait ce qu'il faisait, mais une seule fois c'est peu.

    Te chercher nounours et Nicolas sur votre nuage tous les soirs pour espérer encore un jour heureux.

    Regarder dans le ciel étoilé, toute cette lumière dans l'obscurité,

    Sortir de son corps, y arriver pour cueillir l'étoile de l'espoir et sur terre la rapporter.

    Le ciel est un gigantesque arbre de fruits cristallisés qui promettent un avenir serein.

    Réveil  avec le sourire pour chasser la brume du le matin et cueillir le bonheur de demain.

    "Espéranto", langue nous éduquant tous au même parler.

    Espérance de tous se comprendre, de communiquer.

    L'"Espéranto" n'a fait que passer,

    Dommage s'il avait fait se rapprocher les êtres et de les faire aimer.

     

     

    Morganne


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  • Toi, regarde ta tête, tu es hilare,

    Tu t'es vu quand t'as bu, espèce de soifard.

    Crois tu que la vie vaut la peine d'être ainsi vécue ?

    Vois tu la peine que tu fais à force de boire ça te donne la berlue.

     

    Vis dans ton monde, avec cette boisson amère,

    Qui pour toi, donne un bonheur plus qu'éphémère,

    Vois les larmes dans les yeux des gens qui t'aiment,

    Coule l'eau, roule sur les joues, trinquer avec tes amis, tu ris mais tu es blême.

     

    Demain comme chaque jour, tu vivras ta vie, qui n'est pour d'autre qu'une misère,

    Pire est le mal que tu fais : tu ne le vois pas ou cela t'indiffère.

    Copains de boisson, un petit verre, deux c'est rien ça.

    Mais la destruction de ta personne tu ne te doutes pas.

    Malheur à celui qui t'emboitera le pas,

    Bonheur à celui qui t'ouvrira les yeux en même temps que les bras.

    Réagit tant qu'il est encore temps,

    La vie n'est pas très longue ne fait pas de mal, ne passe pas en coup de vent.

     

    La Boisson conduit en prison,

    Ton coeur s'enferme dans une gangue sans fond.

    Le distance avec les êtres aimés se creusent,

    Achètes des lunettes si tu ne vois pas que tu la rends malheureuse.

     

    Morganne


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  • Reflet dans le psyché

    *****

     

     

    Un joli petit rat de l'Opéra

    Se mire dans le psyché, son coeur bat.

    Un deux trois, maintenez vous droite, plier, tendu,
    Sur les pointes, en cadence, la glace vous a vu.

    Un couple de cygnes glisse sur l'eau miroir,
    Sous les yeux éblouis de deux amoureux venus s'asseoir.
    Que la nature est belle, l'eau clapote dans les ajoncs,
    Le temps s'est arrêté, les reflets de l'onde moirée d'où s'élève une douce chanson.

    Camille passe dans ce triste couloir,
    Elle n'ose regarder le miroir,
    Anorexique, les yeux cernés de bleu,
    Où est-il le temps où elle avait l'air heureux ?

    Le reflet de mon âme me prie incessamment,
    De corriger mes défauts et d'apaiser mes tourments.
    Le corps a ses raisons que dicte son coeur,
    Je serai à toi, pour toujours, pas de rancoeur.

    Morganne
    (poème sous copyright)


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  • Cupidon

     

     

     

     

     

    Cupidon sur son nuage cotonneux,

    La flèche prête à tirer dans un coeur amoureux,

    Défit les nimbus et les cumulonimbus dans le ciel bleu,

    Parade d'un cupidon hilare avec son autre, coup de foudre fougueux.

     

    Sourire illuminé par la palette du crépuscule du petit matin,

    L'a fait grimper au paradis des jours heureux sans fin.

    Le coeur chaviré, admirant  le ciel aux traînées rose-indien,

    Qui ourlaient délicatement les cumulus pommelés du destin.

     

    Des larmes d'émotion dans leurs yeux émerveillés,

    Se transformèrent en une bruine légère,

     Sur terre deux êtres touchés par ces flèches rapprochées

    Sentirent leurs coeurs se serrer et leurs corps enlacés furent empreint de vertigineux mystères.

     

    On a toujours besoin d'un petit Cupidon chez soit,

    Nous donnant le sourire illuminé de la vie,

    Quand la belle aux yeux aux abois,

    Amoureuse de son prince ou son roi, tombera sous son charme avec envie.

     

    Morganne


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  • Fruits de la passion

     

    Sur le fil de la passion,

    deux coeurs battent à l'unisson,

    Ciel bleu horizon,

    N'est ce pas la veille d'une union.

     

    Tel un cône glacé,

    Plusieurs couches se dessinent,

    Rouge comme le dessin de ta bouche rouge hibiscus givré,

    Rose comme tes joues à la couleur du tendre magnolia quand la passion te chavire.

     

    Mauves au goût de miel en cascade de la glycine butinée sur échalas,

    Doux comme le fruit du bigaradier, orangé juteux des pays chauds.

    L'ananas prince du carnaval, porté par des martiniquaises en madras.

     

    Petites bananes à la saveur exotique, incurvée en sourire élevant les pommettes très haut.

     

    Cliquetis de dents blanches qui se rejoignent et perdure..

    le premier baiser d'Adam et Eve, dans une jungle de fruits délictueux,

    Ils croquent la pomme, brillante rouge et jaune, résister est trop dur.

    leurs bouches frissonnent dans le fruit le fruit défendu,

     

    Barbe à papa aux couleurs de la passion,

    Sucettes colorées, au couleur de la nation,

    Myriade de glaces aux saveurs d'exception.

    Corbeilles de fuits goûteux de la passion.

     

     

    Morganne


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