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Dans les villages les saltimbanques, arrivent.
Les enfants vont devant, dans une farandole vive.
Joie de voir enfin, des baladins dans leur faubourg.
Des montreurs d'ours, roulement de tambour.
Les paysans regarde le spectacle en rêvant,
Pendant que devant eux, le petit singe savant,
La cébile à la main, fait des cabrioles ,
Avec ses mimiques et ses grimaces, les petits rigolent..
Des femmes-papillons aux trapèzes voltigent
Et le suspens est là qui donne le vertige.
Elles semblent parfois toucher du bout des ailes
Le haut du chapiteau qui s'ouvre sur le ciel.
La nuit commence à tomber,
Déjà la troupe s'ébranle, il faut les laisser aller.
Peut-être reviendrons-t-il un jour ?
Les saltimbanques et les troubadours.Morganne et L.
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Prends ma main, je t'emmène sur la voie lactée
Bordée des fleurs du Ciel qu'on nomme les étoiles,
Nous nous promènerons ainsi décontractés
Dans de blancs vêtements ressemblant à des voiles.
Puisque le temps n'a qu'une terrestre mesure,
Que l'espace n'est rien dans le Ciel tout entier,
Nous irons visiter le Passé, le Futur.
Dans le petit matin, Je te ramènerai.
Ta voix comme un appel,
Viendra me sussurez du ciel,
La route à suivre pour te retrouver,
Vers les chemins de la paix.
Secret gardé, secret d'éternité,
Romantiquement à toi, droit vers cette immensité,
De deux coeurs séparés, sous la voûte étoilée
Par des kilomètres dans le ciel ainsi libérés.
Je me vois courir dans les nuages vaporeux,
Courir vers toi, pour que l'on soit enfin heureux,
Les voiles blancs comme un navire,
Mes vêtements m'iront à ravir.
De ceux que nous aurons croisés sur notre route
Certains seront persuadés sans aucun doute
D'avoir rêvé de nous et seulement rêvés.
Nul ne se doutera de notre grand secret.
Prends ma main, je t'emmène sur la voie lactée
Pour notre quotidienne et céleste échappée.
Parcourrons à l'infini nos "hier", nos "demains",
Faisons de nos vies des "toujours" main dans la main.
Morganne et L.
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Dessous ces printaniers feuillages aux verts tendres,
Si tu le veux aussi, nous irions nous étendre.
Seuls au monde, nous regarderons les oiseaux batiffoler,
Bercés par leur chant mélodieux, nous pourrons nous aimer.
Eperdus et perdus, entourés de bruyère,
Nos baisers s'unissant dans la brise légère,
Et nos peaux dérobant de l'herbe son parfum,
Nous perdrons pied sous la caresse de nos mains.
Je me cambre pour te sentir plus proche de moi,
Viens n'hésite pas, l'extase est là pour moi et toi.
Mais attendons encore j'aime les jeux de l'amour,
Le contact de ta main sur mon corps me fait chavirer sans retour.
Et moi, tout de frissons, halluciné de fièvre
De tenir ton plaisir juste au bord de mes lèvres,
De baisers en mots doux, ainsi, très lentement,
J'envolerai ton corps dans un ciel émouvant.
Au mois des amoureux défiant l'apesanteur,
Nos amis les oiseaux entonneront en choeur
Un hymne célébrant le plus vivant bonheur
De deux âmes ravies s'aimant parmi les fleurs.
Morganne et L.
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Bienvenue sur le blog perso de Morganne21,
C'est moi eh oui,
Merci de respecter mes poèmes qui sont sous copyright
Mariée un enfant..
J'espère que vous prendrez plaisir à lire... je viens de lexode où j'avais créé psyche-d-ame qui est un blog pour tous et si vous voulez participer, il y a un challenge par semaine je vous invite à me contacter... il existe depuis un moment sur lexode..
Merci et n'hésitez pas, tous les poètes débutants ou expérimentés sont acceptés...
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