-
Ruse et sagesse
Petit marsupial plein de sagesse, sur un arbre perché,
Ronflait doucement pendant sa sieste adorée.
Véloce renard pendant ce temps se disait,
Par la ruse, dans le poulailler j'irai,
Chaparder deux ou trois poulettes
les plus belles, les plus replètes.
Koala réveillé se nourrissait lentement,
de son met préféré, sur son arbre aimant.
Le roi des forêts, l'eucalyptus d'Australie.
Dans une région paysanne vivait Edouard
Son nom lui allait comme un gant Edouard Renard.
Fourbe cet homme pensait ! Tonin vite j'aurais
les produits que tu cultives, tes volailles je chaparderais.
Plus loin dans la forêt vivait la mignonne mamie
Clara Koala tricotant sagement pour son ami
Des gilets tout chauds. Tonin travaillait pendant que l'autre.
Celui qu'elle détestait, le rusé et méchant Edouard se disant pauvre.
Elle enfila prestement ses sabots pour la ferme à la lisière,
Heureuse de faire don à ce sage et courageux Tonin Rivière.
Approchant à petits pas elle vit Edouard chaparder une poule,
Dans son esprit clara se dit je te piégerai sacripan, tu ne me roules.
Edouard rentra dans le poulailler et clara Koala prestement referma
Le rusé fut enfermé, a double tour, et grandmamie de son tour rigola.
elle prévint Tonin et le gendarme arriva.
Edouard ronchonnait, clara rigolait, et le gentil Tonin l'embrassa et la félicita.
Que vaut-il mieux,
être rusé et voleur,
que sage et rieur.
Rusé en menottes
et sage en douce culotte.
ou rusée et sage comme Clara la rigolote
Sagesse vaut mieux que ruse,
cette fable je la livre sans science infuse.
Morganne
votre commentaire -
Par morganne21 dans 6 à 8 mains * jean-marc...seth, franck, phonic,Franck le 18 Novembre 2013 à 21:05
Porter ses yeux sur tous les autres, et garder pour soi.
Un filet d’eau s’écoule et ne cesse de se tarir ici.
Arrêter de courir, regarder nos chances, nos fils de soie.
Tendre les mains, et donner un peu plus de sa vie l’ami.
Pour trouver le repos, le calme et sécher tes larmes inassouvies
Prend une partie de mon espoir, toi qui est seul, envole toi de ton ennui.
Fait de ta vie, un songe d'une nuit d'été, qui sous la lune va briller,
Entend cette musique douce, je te l'offre ne pense pas qu'il s'agit de pitié.
Tu me tends la main pour recevoir, je t’offre mes yeux pour que tu vois.
Comme je ne suis rien, sans que sur moi tu ne poses tes yeux
Offrir, s’offrir, souffrir, mais qu’il est bon de susciter ton émoi
Un être qui dans le froid de l’hiver, se nourrit de ce feu.
Pose ta main sur mon épaule je serai ton messager,
Celle qui dans ta vie d'homme tu pourras compter,
Un sourire ne coûte rien, regarde mon visage enjoué,
j'illuminerai ta vie par les rayons de ma douce féminité.
Alors essayons, ma mie tu n’as sûrement pas tort.
Ignorants ! Au cœur même de nos vies, réside un tel trésor.
C’est une destinée improbable, un sentier oublié.
Un essai, ce partage, qui éveille un plaisir ignoré.
Aurore boréale, sur un lit de cristal, partage avec les démunis,
Faisons de notre vie, une douce et tendre harmonie,
Laissons couler l'eau des torrents caracolant dans la prairie,
Viens donne moi la main faisons une chaîne de partage et d'envie
Morganne et Seth. Le 11/11/09
votre commentaire -
Imaginaire, croire le développer sans peine.
Le loger dans une tête de poupée de porcelaine.
Délirer et rire de soi en brisant l'anathème.
Vouloir que les prières soient exaucées lorsque l'on s'aime.
Licorne blanche au pelage soyeux, belle demoiselle ailée,
La faire sienne dans un rêve secret, laissez-la s'envoler
Vers des contrées féériques, ce pays existe, imaginez !
Mondes de lutins, des elfes magiques, luxuriante beauté.
Règne des petits bambins sur la mousse, on dirait des chérubins,
Regardez-les gambader, visages rieurs au zéphir de séraphins.
Le paradis, les nuages, n'existent pas simplement au ciel,
Sur terre, les prairies fleuries, immenses étendues démentielles.
Fermez les yeux décollez sans perdre une seconde.
Aveugle des misères, devant ce monde immonde,
Le ciel et la terre sont en fusion, fuyons aux catacombes.
Les plaques tectoniques sans chanson nous incombent.
Quelle imagination, rêvons de la fin de notre monde.
Morganne
votre commentaire -
Tes yeux clairs se sont fermés,
Quand ton âme s'est élevée.
J'imagine grandmamie,
Le bonheur quand hier soir tu es partie,
Rejoindre, ta familles et tes amis.
Je contemple les dernières photos de toi,
Et imagine ton départ loin de moi.
Une lumière s'est éclairée cette nuit,
Et je regarde le ciel bouché, d'où je ne vois pas où tu luis.
Reposes en paix grandmamie,
Prendre un enfant par la main, nous a réuni,
Tu voletais au dessus de nous et après tu es partie.
Imagination débordante quand je pense à ce que tu fais,
Je sais, oui je le sais que tout en haut est parfait.
Tu brilles au fimament.
Pour nous grandmaman.
L'au revoir n'est qu'un passage,
Où je te rejoindrais dans un autre âge.
Une génération s'éteint.
Mon imagination cavale et cela m'étreint.
Imagine, Imaginaire,
Ta bonté, ton courage est légendaire.
Reste dans mon coeur.
J'aurai en moi le bonheur.
Morganne
votre commentaire -