• oisiveté par Morganne

    O mbrage léger, rêverie assurée,


    rréalité bien être dans sa bulle et rêver


    S'envoler dans les airs, frôler le duvet des nuages, planer.


    I NGRES sort ton violon, fait nous valser.


    V oyage au pays de fées, des couleurs bonheur, des divinités.


    Evanescence du temps qui fuit, s'évader dans une île enchantée.


    T ransander la magie d'un monde nouveau, s'y installer.


    phémère passion de ne rien faire, que c'est bon l'oisiveté


     


    Au bord de l'onde douce du Verdon,


    Somnoler dans la douceur et  la pamoison.


    Vent frêle, agite les peupliers, rafraîchi l'atmosphère,


    Zen attitude devant cette eau pure caracolant de cette rivière.


    Les odeurs flottent, romarin, lavande et diverses essences,


    Allongés, allanguis, le sourire aux lèvres, j'aime ta présence.


    Main dans la main nous cherchons des yeux la cigale chantant sur le tronc,


    Pin c'est sur toi qu'elle interprête les criquettement de sa chanson.


    Doucement, descendons dans l'eau purifiante,


    Cette rivière venue des gorges, claire et transparente.


    Quelques poissons nous frôlent peu peureux.


     


    La cigale ayant chanté tout  l'été se trouva fort dépourvue quand  l'hiver fu venue


    Monsieur de la Fontaine, penchez vous sur la nature, vous arrangez vos fables de travers.


    D'ici quelques jours les cigales aux ailes frêles mourront, vie très courte.


    Elles auront laisser leur ponte dans la terre qui ne rendra sa progéniture que dans 3, 5 et peut être plus


    Chaque année  le cycle se reforme et chaque printemps chante la cigales dans la belle provence qui nous fait rêver, planer...


     


     


    MORGANNE

     

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  • En apesanteur entre deux eaux, bonheur de siéger à  l'Océan,


    Déesse des abysses, le paradis aquatique grandeur réelle.

    Beauté à couper le souffle, les coraux vivent sur leur séant,

    Mais que vois-je, mon ami, le Dieu au pouvoir surnaturel ?
            

     

     

    Ces profondeurs magnifiques où nous savons évoluer,

     

    Nous enveloppe de la pression des grands fonds.   

     

    Ici rien ni personne ne peut nous juger   

     

    Nageons et évoluons parmi la vie océane que nous respirons ;

     

     

    Un homme et une femme, aux pouvoirs humains et sous marins,   

     

    Gravitent avec bonheur dans le mystérieux triangle des Bermudes.    

     

    Pillant les bateaux, ce Dieu couvre d’or, de bijoux sa belle aux cheveux bruns,  

     

    Seraient-ils la cause de ces disparitions secrètes ? Eux, la réponse ils éludent.    

     

     

    Sirène ou femme, Poséidon ou un tout simple homme,  

     

    Ils évoluent dans l’univers abyssal de l’amour aquatique.    

     

    Entrelacés et virevoltant, oubliant tout de leur subite forme,    

     

    Couverts de richesses sortie du néant, de ces océans pacifiques.  

     

     

     

    Si nous allions faire une sieste dans notre grotte lacustre, à l’abri des yeux,  

     

    Nous compterons nos richesses et feront de cet après midi, un bonheur charnel.  

     

    Offre moi dans des tasses d’écume blanche le breuvage des dieux,   

     

    Mi-dieu, Mi homme, la vie avec toi est un paradis sous marin réel.   

     

     

    Endormons nous sur ces tapis de coquillages clairsemés dans nos antres maritimes,  

     

    Nos yeux se fermeront sur des trésors de toute sorte, de toutes couleurs, sur notre amour  

     

    Nous avons bu tant de plaisir aux calices enchanteurs des profondeurs intimes,

    Nous pouvons, mon trésor, ma vie, nous endormir reposés, nous remonterons, un jour.

     

     

     

    4 Mains Océane de Jfred et Morganne


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  • Un brin de folie m'a poussé jusqu'à toi,

    Mais on n'avait pas le droit.

    Un chant débridé nous a fait nous rencontrer,

    Sur le chemin de l'amitié.

     

    Mais on est bien,

    Parce qu'on y a cru.

     

    Chaque nuit j'attends le passage du marchand de rêves,

    Il me mène à toi pas de trève.

    Là on a tous les droits,

    De se rejoindre avec émoi.

     

    Et on est très bien,

    Parce qu'on y a cru.

     

    Sur la sente du bord de mer on s'est aventuré,

    L'odeur des cystes et des lavandes, nous a enjolés.

    Là, main dans la main on a poursuivi,

    Le chemin des douaniers et on en est tout ébahis.

     

    La mer, le soleil, le droit de s'aimer on l'a,

    Parce qu'on y a cru..

     

    L'amour cela vient cela va comme une amourette qui passait par là,

    Dans un port où le parfum de l'iode Avec le tien m'ensorcela .

    Sur une plage abandonnée en contrebas,

    Comme des fous on a plongé nus à minuit, trop bien cela.

     

    L'océan, l'eau salée, deux corps se sont trouvés.

    Parce que jusqu'au bout ils y ont cru..

     

    Morganne


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  • Cupidon sur son nuage cotonneux,

    La flèche prête à tirer dans un coeur amoureux,

    Défit les nimbus et les cumulonimbus dans le ciel bleu,

    Parade d'un cupidon hilare avec son autre, coup de foudre fougueux.

     

    Sourire illuminé par la palette du crépuscule du petit matin,

    L'a fait grimper au paradis des jours heureux sans fin.

    Le coeur chaviré, admirant  le ciel aux traînées rose-indien,

    Qui ourlaient délicatement les cumulus pommelés du destin.

     

    Des larmes d'émotion dans leurs yeux émerveillés,

    Se transformèrent en une bruine légère,

     Sur terre deux êtres touchés par ces flèches rapprochées

    Sentirent leurs coeurs se serrer et leurs corps enlacés furent empreint de vertigineux mystères.

     

    On a toujours besoin d'un petit Cupidon chez soit,

    Nous donnant le sourire illuminé de la vie,

    Quand la belle aux yeux aux abois,

    Amoureuse de son prince ou son roi, tombera sous son charme avec envie.

     

    Morganne


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