• La Saga de la Vie  - Episode 16 – Destin et Fatalité
     
     
    Le Guide
     
    Vous, que j'entends maugréer contre le Destin,
    Souvenez-vous que c'est vous qui l'avez choisi
    Dans l'Astral, en pleine conscience, c'est certain,
    Avant de revenir vous incarner ici.
     
    Ame incarnée
     
    Avons-nous choisi la maladie, en pleine conscience,
    Les douleurs prolongées inattendues, cela je ne sais.
    Les personnes de notre vie conçues dans l'inconscience,
    Les entités bonnes ou non évoluées qui la composaient.
     
    Le Guide
     
    Tous nos choix ont pour but quelque chose à apprendre.
    Certains peuvent avoir choisi la maladie,
    Je sais que cela peut être dur à comprendre,
    Afin de redonner sa valeur à la Vie.
     
    La pollution aussi peut en être la cause,
    La négativité, d'autres erreurs humaines
    Impactent sur vos choix et sur l'ordre des choses,
    Il serait fort utile que tous le comprenne.
     
    Le Sida n'aurait pas, par exemple, existé,
    Aurait été stoppé dans sa course inlassable,
    Si certains ne jouaient pas les apprentis-sorciers,
    Si chacun d'entre vous était plus responsable.
     
    Ame amie
     
    Mon Guide, je crois tes dires concernant nos décisions,
    Mais programmons-nous l'arrivée de ces événements
    Suivant un calendrier précis, au fil du temps ?
    Ou tout ceci est-il aléatoire, sans aucune précision ?
     
    Le Guide
     
    Le temps, c'est vrai, n'est qu'une mesure terrestre,
    Malgré cela, vois-tu, vos choix existentiels,
    En fonction de vos progrès, avancées, s'orchestrent
    Assujettis qu'ils sont d'un ordre séquentiel.
     
    On ne peut mettre la charrue avant les bœufs,
    Cela ne rime à rien, tu le comprends j'espère,
    Et pour l'exaucement de certains de vos vœux
    Vous devez être prêts, sinon à quoi ça sert.
     
    Sage est celui qui, de tout ce qui lui arrive,
    Sans accuser le Ciel, sa Destinée maudire,
    Parvient à en tirer des leçons positives,
    Car s'ouvrira à lui un serein avenir.
     
    Morganne, Mona, et L. 
     
    pour la suite allez voir le blog de la saga de la vie...
     
     
     

    votre commentaire
  • Challenge de Morganne

    La Petite Sirène, statue d'Edvard Eriksen

     

    Un petit matin frileux,

    Une sirène dont la nudité fait des envieux.

    Telle quel, dans son plus bel appareil,

    Dans le port de Copenhague, elle veille.

     

    Statue habitée par un ange,

    Caché à l'intérieur, c'est étrange,

    Ce chérubin surveille les marins,

    Leur repère, dans la brume du matin.

     

    Par temps clair, l'ange virevolte,

    Regarde les passants, les escortes,

    Dans les ruelles, prêt à intervenir,

    Seul le bien est son seul désir.

     

    Ma dame, au clair de lune viendrez vous ?

    Voir l'astre d'or plonger dans la mer,

    Bien sûr nous ne faisons qu'un.

    Moi  la sirène, et l'ange, sous les embruns.

     

    Morganne

     

    Challenge de Morganne

     


    2 commentaires
  • Fais moi découvrir ton Paradis par JFred et Morganne

    Rêveuse dans les nimbes de mon âme,

    Déconnection totale pour repousser l'infâme.

    Et si on s'évadait toi et moi, cela te plairait ?

    Voudrais-tu conquérir un pays ? Divaguer avec moi sans imparfait ?

     

    Si nous partions vers le soleil par le rêve avancé,

    Nos cheveux aux quatre vents, flottants et démêlés.

    Liberté chérie qui nous accompagnera vers notre destination,

    Loin des autres aux dents acérées et sans compassion.

     

    Nul besoin de quitter notre belle France,

    Allez on s'évade partons pour la Provence.

    Mais que dis-je embarquons sur la route fleurie,

    Cœur contre cœur, fais moi découvrir ton Cantal chéri.

     

    Laisse-moi alors te guider vers ces hauts cratères,

    Profitons de leurs doux caractères.

    Point de réveil au sein des volcans,

    Ils nous permettent de rêver au fil des ans.

     

    Rien à voir avec le turbulent Etna,

    Le cantal est tout en douceur, allez on y va.

    Conduis-moi par monts et par vaux,

    Vers les prairies où paissent les Aubracs et leurs veaux.

     

    Ce beau pays qui saura nous envelopper,

    Sous une voûte céleste que l’on a tant photographiée.

    Couchons nous , afin de nous couvrir

    De baisers et caresses qui ne sauraient nous meurtrir.

     

     

    4 mains d'amitié de Morganne et de Jfred..


    votre commentaire
  • Evasion d'une prison dorée

     

    La tête entre les mains, je rumine,

    Toutes sortes de maux en moi, je fulmine.

    Que faire pour arriver à vivre sur terre,

    Savoir se construire un carcan, une bille de verre.

     

    Je m'élève au dessus du sol,

    Ma bulle légère portée par Eole;

    Evasion d'une prison dorée,

    Je prends les voiles, je fuis la réalité.

     

    Je suis projetée à la montagne,

    Plus haut que cette belle terre de campagne.

    Au bord d'un ru d'eau limpide,

    Claire, non comme celle de la ville.

     

    Le ru calme, caracole, roule les galets,

    Devient torrent, s'affole, fait le feu follet.

    L'air embaume du parfum des hauteurs,

    Je suis devant un panorama de cimes, pleine de ferveur.

     

    Fuir partir de l'avant,

    Ne pas se retourner, pas maintenant.

    Ma  bulle regonflée m'entraîne,

    Mon évasion de quelques heures, finit, j'ai de la peine.

     

    La vie ne tient qu'à un fil,

    Le bonheur est fragile,

    L'envie d'aimer est indicible,

    Toi et moi suivons le tendre fil.

     

    Morganne


    2 commentaires
  •  

     

    Challenge d'Alain et Morganne

     

    Aux pays des abandons, tu fus la première des lueurs,

    Tu as cheminé avec moi dans ton ombre avec bonheur

    Comme on chemine quand on a le coeur joyeux.

    Les sentiments à tes côtés se gorgent de rire,

    Les besaces de bon vin, le soleil qui rougeoie sur ta délicate gorge.

     

    Aux pays sans fond, je croyais les souvenirs éperdus,

    Tu fus la lumière au fond du puits écarlate ;

    La couleur dans les plis du noir velours de ta robe,

    La candeur de la soie de ton corsage qui a moi se dérobait.

     

    En revoyant, ton visage sans âge,

    Où les rides ont creusé d'adorables ruisselets,

    J'oublie le temps qui court si vite, mon âge et ce dos voûté,

    La joie de vivre, atténue la prise des ans à nos côtés.

     

    Alain/Morganne. Poème à quatre mains

    4 novembre 2011


    Tags Tags : Par psyche-d-ames dans N° 106 


    votre commentaire