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    Voyage dans l'astral 4 mains avec fred


    Aux  frontières du réel et de l'irréel, dans un rêve délicieux,

    Je m'envole dans ma bulle doucement vers le paradis bleu.

    Les étoiles pour complices, voyage en solitaire ou à deux ? 

    Parmi les galaxies, Orion m'attire, rejoins moi aux cieux.

     

    C’est du haut du firmament que l’amour se révèle

    Te rejoindre se fera vite, le temps pour un cheval qu’on l’atèle

    Le galop céleste qui m’amènera jusqu’à toi

    Promet des lustres d’équilibre, d’équité et de lois

     

    Je gamberge tellement la vie est belle au dela des astres,

    Suis-je moi ? Ou une fille dont un rêve emmène loin,

    Notre planète mère est envahie, notre terre est un désastre.

    Vogue la galère, je te suis bercée dans tes bras, le soleil point.

     

    Sur mer ou sur terre, comme le vent nous portera

    Toute voile dehors ou sabot ailé, galopera

    Nous serons vite en nos bras ouverts

     

    A étreindre notre amour si clair


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  • première fois Morganne et jfred 4 mains

     

    Amoureuse romantique, heureuse je suis,

    Sauter le pas, intimidée, Dieu que j'ai envie.

    Rebelle pourtant tes doux baisers me laissent en sursis

    Ta bouche tendre explore la mienne, je suis en délit.

     

    Doux moment qu’est celui du baiser,

    Lorsqu’il unit les lèvres de deux protégés.

    Donnes toi à ma bouche comme je me donne à la tienne,

    Nos lèvres soudées en un souffle qui balaie nos peines.

     

    Sentir en contact la douceur de tes lèvres,

    Me délasse et me donne de l'amour la fièvre.

    Subrepticement, nos corps se resserrent,

    Plus rien n'existe, lumière tamisée pour repère.

     

    Ton corps contre le mien, comme au plus près,

    Je sens tes formes, ta poitrine, tes seins si bien faits.

    Je sens tes hanches onduler sous mes mains,

    Serre toi contre moi, ne faisons qu’un.

     

    Cœur battant à tout rompre, à toi tendrement je suis,

    Premier pas, ta douceur est infinie, tu rythmes mes envies.

    Peau contre peau, je deviens femme, par toi,

    Première fois, premier bonheur de mon émoi.

     

     

    Morganne et jfred (4 mains)


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    Coeurs en boîtes Jfred et Morganne

    Aquarelle de Marie Laurencin

    Une feuille de parchemin sur le sous-main enluminures dorées,

    La plume d'oie, en son encrier à l’encre violette prône sur l'écritoire.

    Cette femme au teint de porcelaine fait penser aux anciennes poupées,

    Elle penche la tête, songe, et se plonge dans un vieux grimoire.

     

    A quoi pense t’elle ? où vont ses pensées aux allures sombres

    Sans doute aux confins de contrées ensevelies par les années

    Noire est la nuit qui l’enveloppe, la lumière passera t’elle l’ombre ?

    Où restera t’elle prisonnière d’une geôle imaginaire et sans clés

     

    Non elle est dans une pièce exquise où le méridienne s'impose,

    Devant elle, une aquarelle de Marie Laurencin, douceur en couleurs.

    Elle rêve surtout d'écrire, de pouvoir aligner des vers, sa prose.

    Pour conquérir le comte des bel-air,  qui aime secrètement sa soeur.

     

    Sa poésie reflète les secrets de son âme torturée par le tourment

    M’aimera t’il un jour, passera t’il à côté d’un amour que je crois possible

    Les mots ont ce pouvoir magique d’arrêter le souffle du vent

    Pour que sur la feuille se pose la douceur d’un sentiment indescriptible

     

    Devant elle une boîte ornée de macramé délicat en son centre un coeur, 

    Que contient-elle ? des lettres attachées par des rubans en organdi pastel. 

    L'une n'est pas ouverte, d'un ongle manucuré, le sceau est enlevé avec douceur. 

    Déplié le papier bis sous les yeux, une larme perle, envol de tourterelles.

      

    L’amour éclaire le présent, laissant le passé à son trépas morbide

    Un bonheur qui luit et qui illumine le visage longtemps resté fermé

    Aurait il dit oui, serait il près pour elle, et voler ainsi au dessus du vide

    Oui, l’amour est là, rayonne et son aura enveloppe ainsi les êtres aimés

     

    4 mains Jfred et Morganne


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  • Demande en mariage 


    Dans la quiétude du parc  et le zéphyr sous l'ombrage léger,
    Chevaleresque tu t'avances vers moi, cliquetis de mon coeur.
    Douceur d'un cocon de ver à soie dans sa cachette tissée.
    Tes bras m'enserrent, te revoir au bout d'un long mois, quel bonheur.

     

    Ce doux message apporte cet amour secret

    Nul question de blasphème en ce lieu délicieux

    Juste la musique d’un amour qui n’est plus inquiet

    Le bras chevaleresque qui prétend te porter aux cieux

     

    Ton départ que j'avais appris par missive sur un parchemin,
    D'une écriture en pleins et en déliés m'avait beaucoup attristée,
    Avec la peur de ne pas te revoir en vie, tant de choses sur le chemin,
    Ton fidèle destrier t'a conduit sain et sauf, scellons ce retour par un baiser.
     

    Nos mains liées à jamais vers un désir commun

    Celui de nous livrer à cet étrange et calme sentiment

    Partir loin de l’être aimé ne sert à rien

    Si ce n’est pour le retrouver encore plus fort en l’aimant. 

    Tu me dis que tu vas demander ma main à mes parents,

    C'est une douce note qui résonne dans mon coeur,

    Mais d'entrer dans cette belle église gothique et  pour femme tu me prends,

    Je rougis, d'avance, sans bruit scellons cet accord de ce grand bonheur.

     

    4 Mains de Jfred et de morganne


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  • Quatre mains Océane avec jfred et morganne

    En apesanteur entre deux eaux, bonheur de siéger à  l'Océan,

    Déesse des abysses, le paradis aquatique grandeur réelle.
    Beauté à couper le souffle, les coraux vivent sur leur séant,

    Mais que vois-je, mon ami, le Dieu au pouvoir surnaturel ?
      

    Ces profondeurs magnifiques où nous savons évoluer, 

    Nous enveloppe de la pression des grands fonds.    

    Ici rien ni personne ne peut nous juger   

    Nageons et évoluons parmi la vie océane que nous respirons ;

    Un homme et une femme, aux pouvoirs humains et sous marins,   

    Gravitent avec bonheur dans le mystérieux triangle des Bermudes.    

    Pillant les bateaux, ce Dieu couvre d’or, de bijoux sa belle aux cheveux bruns,  

    Seraient-ils la cause de ces disparitions secrètes ? Eux, la réponse ils éludent.     

    Sirène ou femme, Poséidon ou un tout simple homme,  

    Ils évoluent dans l’univers abyssal de l’amour aquatique.    

    Entrelacés et virevoltant, oubliant tout de leur subite forme,    

    Couverts de richesses sortie du néant, de ces océans pacifiques.   

    Si nous allions faire une sieste dans notre grotte lacustre, à l’abri des yeux,  

    Nous compterons nos richesses et feront de cet après midi, un bonheur charnel.  

    Offre moi dans des tasses d’écume blanche le breuvage des dieux,   

    Mi-dieu, Mi homme, la vie avec toi est un paradis sous marin réel.   

    Endormons nous sur ces tapis de coquillages clairsemés dans nos antres maritimes,  

    Nos yeux se fermeront sur des trésors de toute sorte, de toutes couleurs, sur notre amour  

    Nous avons bu tant de plaisir aux calices enchanteurs des profondeurs intimes,

    Nous pouvons, mon trésor, ma vie, nous endormir reposés, nous remonterons, un jour.

      

    4 Mains Océane de Jfred et Morganne


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