•  Liberté, qu'est-ce que je t'aimerais,

    Batifoler dans les prairies, vers les ruisseaux.

    Dépendance, je ne t'ai jamais demandée,

    Danser, skier, bouger on me l'a enlevé par mes maux.

     

    Vole par dessus l’immensité des océans

    Rien ne retient le souffle divin du matin

    Allons nous lui reprocher, d’aimer le vent ?

    Ou serons nous de ceux qui trinquerons en buvant le vin

     

    Dans la rue, on s'arrête pour me laisser passer,

    Pourquoi ? je suis une personne normale à ce que je sais.

    Le regard des autres peut être un malaise à digérer,

    Une canne, deux cannes, un sourire, un mot gentil, on se reconnaît.

     

    Dans la tête se trouvent les carcans qui oppressent

    Il est des maux qui s’envolent dès un sourire allumé

    La liberté les enveloppe, aide à tenir debout sans cesse

    Libre à tout jamais, sans besoin de l’autre pour marcher

     

    La Liberté est trop importante,

    Pour la transformer en dépendance..

     

     

    4 Mains Jfred et Morganne


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    Les mots non dits Jfred et Morganne

    Sur la portée de la vie, 
    Une ombre passe dans l'infini.
    Combien de temps ai-je attendu, 
    La déclaration qui n'est pas encore de toi venue.

    Les notes distillées de nos mémoires s’envolent,
    Que n’ai-je osé te dire de peur que le cœur s’étiole.
    Les mots à jamais disparus, jamais prononcés,
    Comme une toile peinte mais jamais dévoilée.

    Vivre ensemble n'est pas un tourment,, 
    Et les maux distillés par les non mots des amants, 
    Sont la maladie qui ronge mon fragile cerveau, 
    Une parole prête à être prononcée, arrêtée aussitôt.

    Ne pas à avoir peur de ces non-dits
    Se lancer grâce à la liberté de l’écrit
    Couchés sur le papier, les mots s’évaporent
    Pour nous balancer de bâbord en tribord .

     

    Une non déclaration,

    Ecrite sur un parchemin à la plume de la narration,

    Les Non dits,

    Rédigés par des lettres entrelacées, timide colibri.

     

     

    Poème de jfred et de morganne

    Les mots non dits Jfred et Morganne

     


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    Empire Nouveau

     

     

    Allongés sous la voûte céleste, douceur de bois de santal.
    Nos corps alanguis rêvent de décoller vers l'astral
    Une douce brise fait voleter mes cheveux,
    Ta main câline frôle ma joue, est-ce un jeu ?

    Délicieux jeu qui nous pousse l'un vers l'autre
    Un corps puis le mien, serions-nous les apôtres
    De l'amour à disperser sur cette terre alanguie
    Où l'on pense plus à la mort qu'à la vie ?

    Reste sur le plan terrestre le paradis on a dépassé
    Eve avec Adam la pomme ont croqué,
    Ce petit bois à la frondaison feuillue
    Où il fait bon s'enlacer nous montera aux nues.

    Dans notre bulle de vie fuyons les mauvais restes
    Apprécions ces délicieux gestes
    Où nos corps l'un contre l'autre couchés
    Ne forment plus qu'un pour s'aimer

    Amour toujours envolons-nous vers un monde nouveau,
    Faisons un empire de nos liens les plus beaux,
    Dressons les cathédrales de tendresse,
    Avançons vers le bonheur pour qu'en tous il renaisse.

    Jfred et morganne (4 mains)


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     La Mante religieuse

    *****

    Féline, la fille s'avance, comme à l'affût,
    Les courbes parfaites, altière, elle ne passe pas inaperçue.
    Jambes fuselées dans un pantalon seconde peau,
    La femme déesse, chasseresse dans un monde nouveau..



    Telle la lionne, elle sait toiser de son regard perçant

    Un pas après l’autre, elle avance légère, doucement

    Serait ce une proie fragile et docile qui s’avance

    Va-t-elle fondre sur elle ? Qui sait ce qu’elle pense ?



    Sexe masculin, cette égérie, est ce qu'elle préfère,
    Dans sa tête que passe-t-il, on dirait que cela l'indiffère.
    L'homme à la tête d'ange n'est pas insensible à son charme,
    L'honore d'un sourire doux, romantique, mais qui la désarme ?



    A-t-elle envie de lui ? Homme dans toute sa puissance

    Il paraît pourtant si fragile, sera-t-il près pour la danse ?

    Celle des corps qui se mêlent, qui sont prêt à se donner

    Elle est bien plus forte que lui, bien plus encline à le tuer.



    Sous son aspect mante religieuse elle n'est que douceur,

    Lui le regard perdu dans ses yeux, il n'est que candeur.

    L'amour ne fera qu'un de ces deux corps brûlants en extase,

    Extase d'un coup de foudre ravageur au bonheur en stase.

     

     

    4 Mains de Jean-frédéric et Morganne


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  • Challenge 4 mains enfin j'ai compris.

    ******
    Nos vies à chacun ont toutes eu une première fois..

    Notre premier sourire, devant les parents ébahis,

    Nos premiers pas, pas facile de ne pas marcher de guingois,

    Les premières dents, là nous on ne s'en rappelle pas pardi..

     

    Après les premières fois la vie se charge d’émotion

    L’expérience nait de nos modestes avancées

    Un pas après l’autre, ce chemin que nous suivons

    N’est autre que celui qui nous conduit au pas cadencé

     

    L'école nous a fait faire un bout de chemin solo,

    Plus d'indépendance, on commence à voir la vie.

    Sur un bureau pas loin de nous, un minois tout beau,

    Premier émoi, là les joues rougies conquérant avec envie

     

    Les premiers amours qui nous mettent le cœur à l’envers

    Ces sentiments qui bouleversent l’ordre de nos vies établies

    Premiers pas vers un amour naissant, encore vert

    Le suivant n’est jamais loin sur le grand tableau de la vie

     

    Mais ces amours de passage nous font de bons souvenirs,

    Mais là où j'ai compris le vrai sens de l'amour coup de foudre.

    Un éclair a zébré tes yeux et les miens, tout de suite on a vu l'avenir.

    Ce garçon c'était toi, cette fille c'était moi, amour constellée d'or en poudre. 

     

    Alors peut on dire que dans ce signe venu du ciel

    L’amour est né, l’amour vit, l’amour se meure

    Qui pourrait dire d’un mot, d’une phrase essentielle

    Que tout passe, tout lasse, malgré ces premières heures.

     

     

    4 mains Jean-frédéric,Morganne


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