Morganne de toi

D ans l’infinie tendresse que contient son cœur si grand,
E lle emporte ses « enfants » au proche de sa grandeur d’âme
E t fait du bonheur le joyau de son unique quête.
S ereine et dévouée, elle ne jure que par les vers,
S ’appropriant le cœur passionné de ses lecteur s
E n faisant rimer espoir, amour et éternite.

M organne est fée ou déesse mais reste avant tout « Mom » :
O ndée de tendresse et de dévotion, elle n’attend aucun bravo,
R estant unique détentrice de nos sourires en son pouvoir.
G arante de notre sérénité comme le désert est gardé par le Touareg,
A -t-elle seulement conscience de l’importance de son aura ?
N éréide des mers déchainées qui apportent  l’inspiration,
N ébuleuse de l’univers qui détient la puissance de l’émotion,
E lle seule sait guider nos âmes au devant de l’éternite.

E n pure amitié, aujourd’hui je prends ma plus belle plume,
N e pouvant réprimer l’envie de t’exprimer mon affection.

F unambule parcourant son fil tendu au dessus de ton fief,
E n vers je veux aujourd’hui célébrer ton anniversaire et ta fête,
T ’assurant ainsi de la tendresse que mon cœur ressent
E t du sourire que fait naître en moi, ta si grande âme !

Sylvain

 Photo et acrostiche de Morganne

Morganne

Acrostiche et poème sur l'oisiveté

O mbrage léger, rêverie assurée,

I rréalité bien être dans sa bulle et rêver

S'envoler dans les airs, frôler le duvet des nuages, planer.

I ngres sort ton violon, fait nous valser.

V oyage au pays de fées, des couleurs bonheur, des divinités.

Evanescence du temps qui fuit, s'évader dans une île enchantée.

T ransander la magie d'un monde nouveau, s'y installer.

E phémère passion de ne rien faire, que c'est bon l'oisiveté

Au bord de l'onde douce du Verdon,

Somnoler dans la douceur et  la pamoison.

Vent frêle, agite les peupliers, rafraîchi l'atmosphère,

Zen attitude devant cette eau pure caracolant de cette rivière.

Les odeurs flottent, romarin, lavande et diverses essences,

Allongés, alanguis, le sourire aux lèvres, j'aime ta présence.

Main dans la main nous cherchons des yeux la cigale chantant sur le tronc,

Pin c'est sur toi qu'elle interprète les criquètements de sa chanson.

Doucement, descendons dans l'eau purifiante,

Cette rivière venue des gorges, claire et transparente.

Quelques poissons nous frôlent peu peureux.